Marrons-nous en attendant la mort
Y’a quand-même de bonnes nouvelles : Jean-Jacques Vanier remonte sur scène pour nous rappeler qu’«À part ça, la vie est belle ». C’est le moment d’en profiter.
« Eh! Les ami(es), on fait un pacte. S’il y a quelque chose après, le premier qui le sait, il envoie un signe aux autres. (…) Alors on attend les signes et on vit, on boit, on cause, on fume, on skie et on pédale, on danse et on aime, on cherche, on plonge, on nage ou on surnage, on coule, on remonte, on repart toujours à l'attaque avec ses doutes, ses erreurs, ses certitudes, ses peines, ses joies, ses bonheurs, ses amours, ses potes. »
Mis en scène par François Rollin - le génial professeur – avec qui il collabore depuis trente ans, Jean-Jacques Vanier semble nous avoir concocter une méthode Coué aux petits oignons. Ça serait dommage de s’en priver, d’autant qu’on le vaut bien.
Ça donne envie, non ? Bon, vu le contexte pour le moins plombé du côté des théâtres qui jonglent avec le couvre-feu après avoir marné pour rendre les jauges inoffensives, il faut quand-même faire fissa. Malgré les aides débloquées pour les soutenir, les saltimbanques risquent de plier les gaules, à force…
Donc, on réserve au Théâtre de la Divine Comédie pour le vendredi à 19h00, le samedi à 18h30 (relâche le 7 novembre) ou le dimanche à 16h30.
Bons week-ends à tous !